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L’existence dans la scène se fonde sur les capacités communicatives personnelles : si tu ne recherches pas que tout le monde comprenne qu’est que tu fais et pourquoi, tu vas empêcher à tes copains de travail son part de travail pendant le spectacle.

On ne parle pas seulement de ce qu’ils sont avec toi sur le plateau : il y ont, dans le parterre, autant de copains de travail que de spectateurs, et un spectacle marche seulement si eux mêmes peuvent dérouler activement leur présence.

 

Au contraire de ce qu’on pense en général, le spectateur n’est pas un sujet passif.

Il rit ou pleure lorsqu’il peut rétablir qu’est-ce que nous sommes dans la scène, mais seulement parce que nous travaillons avec lui au but d’assembler touts les éléments nécessaires pour l’évocation des pensées et de l’émotion.

 

La conscience de soi-même et de son corps sont indispensables, ça va sans dire, mais il faut d’avoir bien clair autant le «quoi» que le «comment» lorsque on agit dans la scène parce que dans une situation théâtrale, avec rythmes et modalités communicatives altérés (peut être que le mot le plus approprié soit récodifiés) par les caractéristiques propres du moyen théâtral, c’est bien facile de prêter -et même de faire prêter- à l’équivoque, en engendrant une communication détournée, contradictoire ou tout à fait illisible.

 

Pendant ces deux jours de travail on toucheront les différentes faces de la communication -théâtrale et quotidienne- par exercices qu’iront du Grammelot (le parler onomatopéique) à la déclamation, du contact physique à l’exercice de style selon Queneau, avec un particulier soin pour les langages pas verbales.

 

Le samedi et le dimanche tout à fait dédiés à l’étude et à la pratique, couchant chez l’auberge par 16 euros pour nuit, dîner et repas chez un petit restaurant. C’est possible une différente organisation, mais il faut se mettre d’accord bien tôt pour bien organiser. 

Programme de travail

 

 

1. Le langage verbal : les oeufs sur le plat selon Anubis

2. Le langage gestuel, soit  “La poêle, cette inconnue: comment  frapper l’antagoniste, et tout d’abord pourquoi"

 

2-1 . L’ importance du style: amis, ennemis, ou simples connaissances?

 

3. Le langage mimique facial, soit "La face parlante: exercices sur l’usage du regard"

 

4. Le langage tonale, soit "Disputer avec une araignée et conduire un aveugle par les nombres"

 

5. L’ensemble des langages pas verbales, soit "Le Grammelot"

 

5-1. Comment décrire une siège

 

5-2 Se rencontrer chez le cafè

 

5-3 La LINEA, quelqu’un qui se fait comprendre jusqu'au bout du monde

 

5-4 Les voies du Grammelot

 

6. Le texte et le con-texte, soit "Est-ce que je pense ce que je dis ou je dis ce que je pense?”

 

7. La communication selon Watzlawick: confirmation, refuse et  déconfirmation

 

 

Ce workshop c'est dédié à :

- touts ces qu’ont une idée que leur trotte dans la tête mais ils ne sont pas capables de lui donner un nom

- touts ces qui, pendant un spectacle, ont aperçu de la sensation d’être publiquement en culottes

- et enfin touts ces qui, embêtés de soi demander qu’ils vraiment sont, ont choisi d’être quelqu'un d'autre, et bien qu’ils encore ne savent pas qui’ils sont, ils se sentent bien plus heureux

Durée: 4 rencontre de 4 heures chacun

        (samedi  et   dimanche  9/13 et 14,30/18,30)

 

: Pontelagoscuro (Ferrara, Italia) coordonnées 44.884052,11.608869

Info :       0039 347 - 777 94 16  0039 0532 - 77 13 52

                info@fabriziobonora.net

 

 

 

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